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Le whisky est un spiritueux très polyvalent, c’est sans doutes pourquoi vous vous posez la question de Comment boire du whisky sans Coca ? » Malgré toute sa complexité, vous pouvez boire le whisky chaud, froid, voir même cuisiner avec. Mais il y a quand même plusieurs choses à savoir pour vraiment l’apprécier sans Coca. Dans cet article, je vais tenter de vous montrer les autres façons de boire du whisky et qu’il est aussi possible d’en prendre du plaisir. Voici les différentes pistes sur comment boire du whisky sans Coca Un whisky pur, Une pointe d’eau,Avec des glaçons, En cocktails. Entrons dans le vif du sujet, et regardons tout ça de plus prêt 1. Un whisky pur Vous vous demandez surement comment boire du whisky pur ? Voici la meilleure façon d’apprécier toutes les saveurs et la complexités que ce spiritueux a à offrir. Qu’est-ce qu’un whisky pur ? Le whisky pur est du whisky servi sans mélanger quoi que ce soit. Il n’y a que dans certains bars que quand on demande un whisky pur, qu’il est mélangé avec des glaçons et filtré dans votre verre. Comment je bois un whisky pur ? La meilleure façon de boire du whisky pur est de le boire dans un verre adapté et bien entendu à température ambiante. Servez maximum 5 cl dans un verre Glencairn par exemple, ce qui représente la dose parfaite pour une bonne dégustation. Le but d’un dosage de whisky parfaitement servi est de passer directement de la bouteille au verre avec le moins d’interruption possible. Donc, n’utilisez pas de jigger » comme dans les bar pour doser. Un whisky pur est une boisson faite pour être sirotée lentement – le but étant d’apprécier les nuances du whisky. Il peut être versé de la même manière qu’un verre d’alcool, mais il ne devra certainement pas être consommé en une seule gorgée. Quelles sont les meilleurs whisky à boire pur ? Bien que je sois un bon amateur de scotch whisky, je dirais que le bourbon est un bon whisky pour commencer à boire pur. La proportion élevée de maïs lui confère une saveur plus douce, ce qui calme une partie de la teneur d’alcool. Si vous êtes une personne qui aime les épices, alors le whisky à base de seigle pourrait être un bon point de départ. Plus sec que le bourbon mais le caractère épicé du seigle aide également à atténuer le caractère alcoolique du whisky. En conclusion Bien que l’intérêt d’un whisky pur soit de le savourer sans dilution, de nombreux amateurs de whisky diraient qu’il y a un moyen de le diluer sans dénoter le goût du whisky. 2. Une pointe d’eau Après tout, pourquoi ne pas ajouter un peu d’eau dans son whisky ? Il y a un bon nombre d’amateurs qui sont pour le fait de verser une larme d’eau dans le whisky pour le boire. Qu’est-ce qu’un whisky dilué avec de l’eau ? Un whisky dilué à l’eau est une whisky dans lequel on ajoute un peu d’eau. Pourquoi ajoute-t-on de l’eau ? Une goutte d’eau peut être une bonne chose. Un peu d’eau libère les éléments hydrophobes hydrofuges dans le verre, vous permettant de détecter plus d’aromatiques sur le nez et, en abaissant la teneur en alcool, il peut vous permettre de goûter plus de saveurs en bouche. Quel est le bon dosage d’eau pour mon whisky ? La façon la plus simple de procéder consiste à utiliser un verre d’eau et une paille, ajoutez simplement une goutte oui, rien qu’une goutte, tourbillonnez votre whisky, buvez une gorgée et répétez jusqu’à ce que vous trouviez les saveurs agréables que vous recherchez. En conclusion Plus les gouttes sont grosses, plus votre whisky sera dilué, obtenant l’effet de la glace sans refroidir le rafraîchissement. 3. Avec des glaçons Dans les bars, le terme pour désigner des glaçons dans votre whisky est On the Rocks ». Cela semble simple, non ? Et bien, si vous êtes amateur de whisky depuis un bon moment vous savez que les choses ne sont pas aussi simple qu’elles le paraissent. Qu’est-ce qu’un whisky avec glaçons ? Un whisky On the Rocks » est un whisky dans lequel on dépose des glaçons. Pourquoi ajoute-t-on des glaçons ? Généralement on ajoute des glaçons pour atténuer la teneur en alcool d’un whisky. La dilution est le principal inconvénient de l’ajout de glace au whisky. Après tout, il est naturel que la glace fond et plus vous prenez de temps pour siroter votre whisky, plus il se diluera. Quels sont les meilleurs glaçons à mettre dans mon whisky ? En ce qui concerne le type de glace, il vaut mieux utiliser un gros glaçon ou une boule de glace. Les petits cubes ou morceaux de glace fondent plus vite que les gros morceaux, diluant votre whisky plus rapidement. Si vous voulez l’effet réfrigérant sans la dilution, vous pourriez envisager d’ajouter des pierres de whisky réfrigérées. 4. En cocktails Il se peut que vous ne savez pas comment boire le whisky, vous n’aimez tout simplement pas le goût du whisky ou que vous cherchez peut-être une nouvelle façon de déguster le whisky, alors lancez-vous sur une recette de cocktail classique à base de whisky. Vous pouvez très bien par exemple remplacer la vodka du Bloody Mary par un whisky Ardbeg, single malt d’Islay. Besoin de quelques idées supplémentaires ? Voici deux recettes à tester sans plus tarder Boire un Whiskey Sour Le Whisky Sour a été inventé en 1766. A l’époque, il se servait chaud mais l’apparition des réfrigérateurs et congélateurs en 1850 modifia la recette et le mode de consommation. Ce cocktail a connu son moment de gloire au cinéma avec Marylin Monroe dans le film 7 ans de Réflexion ». 5 cl de whisky bourbon1 citron2 cl de sirop de canne à sucreune cerise en garniture Préparation 1/ Réaliser la recette Whisky Sour » au shaker. 2/ Presser le jus d’un citron, verser dans le shaker avec le whisky et le sucre de canne. Bien frapper avec quelques glaçons et versez le tout dans le verre. 3/ Servir dans un verre de type old fashioned ». 4/ Option pour plus de consistance, versez quelques gouttes de blanc d’œuf dans le shaker avant de frapper vigoureusement. Boire un Perfect Nikka Manhattan Ce cocktail a reçu le prix du Meilleur Cocktail » lors du salon Cocktails Spirits à Paris en 2013. 6 cl de whisky Nikka Coffey cl de vermouth cl de vermouth rouge1 trait d’Angostura bittersGlace Préparation 1/ Incorporer les ingrédients dans un verre à mélange avec glace. 2/ Remuer et verser la préparation dans une coupe ou un verre rafraîchi au préalable. 3/ Exprimer un zeste de citron ou d’orange et garnir d’une cerise à cocktail. 4/ Déguster bien frais. Conclusion Maintenant que vous savez comment boire du whisky sans coca, il est l’heure de vous choisir un bon verre a whisky. N’hésitez pas à en parler dans les commentaires ci-dessous. Slainte Mhath!

Modérateur Modérateurs vetgyn Contre-maître Messages 134 Inscription 31 mai 2009, 0934 Combien dans un verre ? En me versant un mini dram cl à l'instant meme je viens de m'apercevoir que mon highland park 18 ans n'est pas le mem que d'habitude où je suis plutot a 3cl. Y a t il vraiment une difference ? et je me demande quel serait alors le volume le plus adequat ? "L'amateur de malt aime comparer et prospecter. Avec chaque nouvelle bouteille s'ouvre tout un monde de plaisir." Michael Jackson In "Guide de l'amateur de malt whisky david S Maître distillateur Messages 1521 Inscription 01 nov. 2007, 1700 Re Combien dans un verre ? Message non lu par david S » 01 juin 2009, 1246 Moi j'aime bien 2cl dans un verre tulipe type Ardbeg. Après je pense qu'en fonction de la quantité versée et de la taille du verre on peut déceler des différences olfactives. A voir avec les habitués vetgyn Contre-maître Messages 134 Inscription 31 mai 2009, 0934 Re Combien dans un verre ? Message non lu par vetgyn » 01 juin 2009, 1441 il est vrai que le verre joue enormement. J'aime bien le verre de la LMW mais l'ancienne version du pure glass et je test en ce moment le verre de chez schott special whisky. Les deux verre offre des facettes assez differentes du meme whisky. Le verre de schott est impressionnat en ce qui concerne de humer un whisky de la veille. je garde toujours mon verre vide et c'est un vrai plaisir le matin avant d'aller travailler de humer les fragances sans l'agressivité de l'alcool. J'ai comme cela gardé les 3 penderyn madeira, sherywood, peated durant une seamine et humer les trois à la suite sur verre vide fut une tres bonne experience. Donc a ma question de la quantité je pose aussi la question de la "non quantité" il y a t il des amateur de verre vides ?? "L'amateur de malt aime comparer et prospecter. Avec chaque nouvelle bouteille s'ouvre tout un monde de plaisir." Michael Jackson In "Guide de l'amateur de malt whisky vetgyn Contre-maître Messages 134 Inscription 31 mai 2009, 0934 Re Combien dans un verre ? Message non lu par vetgyn » 01 juin 2009, 1516 d'accord mais tu as une bonne excuse maintenant pour ne pas faire la vaisselle une technique de degustation..... "L'amateur de malt aime comparer et prospecter. Avec chaque nouvelle bouteille s'ouvre tout un monde de plaisir." Michael Jackson In "Guide de l'amateur de malt whisky ttn Maître distillateur Messages 3740 Inscription 04 août 2005, 1105 Re Combien dans un verre ? Message non lu par ttn » 02 juin 2009, 0859 Tes invités étant néophites, j'opterai pour une quantité de 2cl 2,5cl si tu as la main lourde . Ca leur laisse le temps de le déguster, de l'apprecier et plus si affinité... vetgyn Contre-maître Messages 134 Inscription 31 mai 2009, 0934 Re Combien dans un verre ? Message non lu par vetgyn » 02 juin 2009, 0913 j'avais fait un rapide calcul à cl pour la bonne conscience apres chacun fait ce qu'il veut 3cl de whisky = 1 verre de vin d'apres les autorité competantes en matiere d'alcool d'accord c'est variable en fonction du whisky et du vin...et du verre la choppe de biere ne compte pas donc 6 whisky et max 3 verres de vin me donnent cl C'est plus pour les detracteurs du front anti alcoolique.... De toute façon des crachoirs son necessaires a chacun de les utiliser ou non 1 cl me parait un peu juste du moins c'est suffisant pour le nez mais pas toujours suffisant en bouche meme si je prefere en general le nez Dernière modification par vetgyn le 02 juin 2009, 0919, modifié 1 fois. "L'amateur de malt aime comparer et prospecter. Avec chaque nouvelle bouteille s'ouvre tout un monde de plaisir." Michael Jackson In "Guide de l'amateur de malt whisky amor57 Maître distillateur Messages 3492 Inscription 12 janv. 2006, 0819 Re Combien dans un verre ? Message non lu par amor57 » 02 juin 2009, 0915 J'ai dû poster une réponse à un mauvais endroit... edit N'oublie pas de prévoir les crachoirs, surtout si tu verses des doses "importantes". Il y en a certainement qui conduisent après, alors n'oublie pas de leur rappeler qu'un verre de 2 cl d'alcool à 40%, c'est immédiatement 8 grammes d'alcool qu'on ingurgite. /edit Alain Winner of the International Witch Blending Challenge Site CoMAW mars Maître distillateur Messages 12289 Inscription 08 janv. 2009, 1840 Re Combien dans un verre ? Message non lu par mars » 02 juin 2009, 1603 amor57 a écrit Il y en a certainement qui conduisent après, alors n'oublie pas de leur rappeler qu'un verre de 2 cl d'alcool à 40%, c'est immédiatement 8 grammes d'alcool qu'on ingurgite. /edit Beuh, doit y avoir une erreur là! Parce que 2Cl de whisky cela fait un petit peu moins de 2 grammes sur la balance! A 40% d'alcool cela fait 0,8 grammes d'alcool. Pour 6 litres de sang, cela fait 0,135 grammes par litre. Un lien avec un tableau MARS Charleroi, Belgique pompix Maître distillateur Messages 8363 Inscription 26 avr. 2007, 1252 Re Combien dans un verre ? Message non lu par pompix » 02 juin 2009, 1611 Euh, y a erruer là, 2 cl ça fait pas plutôt 20g ? Pour l'eau 1 litre = 1kg donc 1ml = 1 millième de kg soit 1 g donc 20ml=2cl=20g. Là dessus ça aurait été moche qu'Alain se gourre. Par contre tout ne doit pas passer dans le sang, si ? "Die with a beer in your hand !" Tankard bpoujol Maître distillateur Messages 3746 Inscription 03 nov. 2007, 2022 Re Combien dans un verre ? Message non lu par bpoujol » 02 juin 2009, 1635 2cl -> environ 20g 20g *40% = 8g d'alcool 8/6 = On a donc droit a 4verres de 2cl pour être = Sachant qu'on perd par heure 1 verre pour 30min T0 0 T1/2 T1 T1 + 1/2 T2 T2 + 1/2 T3 En gros avec 6 verres sur 3h on est "pile poil" vis a vis de la maréchaussée... david S Maître distillateur Messages 1521 Inscription 01 nov. 2007, 1700 Re Combien dans un verre ? Message non lu par david S » 02 juin 2009, 1655 En gros avec 6 verres sur 3h on est "pile poil" vis a vis de la maréchaussée... Me fait peur ce pile poil En matière d'alcoolémie la théorie est trop aléatoire et s'y vouer est prendre d'énormes risques. En fait avec 2 drams de 3cl de whisky à 40% on est déjà à 0,5 gr/l sang. Après, couplé au repas sans vin sur une longue durée pourquoi pas mais rien ne vaut un dépistage en fin de repas. Cela vaut tout les calcul d'apothicaire David Dernière modification par david S le 02 juin 2009, 1748, modifié 1 fois. piazzolla Maître distillateur Messages 4789 Inscription 13 janv. 2008, 2347 Re Combien dans un verre ? Message non lu par piazzolla » 02 juin 2009, 1659 bpoujol a écrit En gros avec 6 verres sur 3h on est "pile poil" vis a vis de la maréchaussée... Merci pour cette analyse intéressante et utile ! Légende ou pas, il semble que le cigare perturbe à la baisse les alcootests .... et je ne parle pas de boucher l'appareil avec bien sur ! Carpe Diem "Whisky is the cure for which there is no disease." Robin Laing

cedege63 Jeudi 24 février 2011 1732 Inventaire des bouteilles entamées comment faire le calcul ? pouvez vous me dire comment faire pour compter les bouteilles entamées au bar !!! je sais que l'on peut compter en 1/10 , mais techniquement comment faut il faire ? pour être au plus juste merci de votre réponse Jean-Claude Oulé Jeudi 24 février 2011 1802 L'inventaire se fait en effet par fractions correspond généralement au nombre de doses que contient la bouteille ou par 1/10ème comme vous le mentionnez. Techniquement, le plus simple est de disposer de gabarits gradués pour chaque type de bouteille. Vous pouvez les créer mais les fournisseurs de liquides devraient pouvoir vous les procurer gratuitement. inventaire des bouteilles entamées Lundi 14 mars 2011 0921 Bonjour, j'ai été intéressé par la question de cedege63 au sujet du contrôle des bouteilles entamées, serait il possible d'avoir les adresses des fournisseurs qui envoient des gabarits de mesure des bouteilles entamées? Y'aurait il pas en France des vendeurs de gabarit? Merci clafoutis Lundi 06 août 2012 1917 bonjour, comment créer des gabarits gradués soi même? avez vous un exemple a me transmettre? adrien kongo Lundi 06 août 2012 1935 bonsoir, j'ai été confronté au même problème, le mien, je l'ai réglé en pesant mes bouteilles. J'ai le poids des bouteilles pleines, j'ai le poids de ma bouteille vide, pour une bouteille de whisky black label de 100cl, en prenant pour dose 4cl, j'ai 25 doses qui correspondent à un poids donné. vous faites un tableau de correspondance en faisant une règle de trois. Lorsque je fais mon inventaire, je n'ai qu'à peser mes bouteilles, tant de poids, tant de doses. cela va plus vite, un pèse les bouteilles, un autre le méthode vous évite de rechercher des gabarits, la méthode du 1/10ème, je l'ai jamais essayée. J'aimerais que Jean claude Oulé apprécie cette méthode, y a t il des possibilités de l'affiner? clafoutis Lundi 06 août 2012 2002 merci adrien, bonne idée je n y avais pas vais essayé de le mettre en place. Anne Lundi 01 octobre 2012 1305 La technique de mesure existe et elle est simple. Chaque bouteille a un liseré qui la traverse de haut en bas. Fermez bien la bouteille et couchez-la, faites la tourner jusqu'à que vous aperceviez le liseré à hauteur de vos yeux. Fractionnez en 5 en dessous du liseré et en 5 au-dessus du liseré, appliquez la mesure par rapport au constat de à et 1 pour la bouteille non ouverte. Cette méthode simple et efficace doit être systématiquement appliquée et par tous. Enfin, transvaser entraîne des pertes de liquide et de temps autant que de qualité gustative vous utilisez un récipient propre à chaque fois ?. Par ailleurs, le poids de chaque bouteille varie et c'est une grande perte de temps et d'énergie de faire ainsi un inventaire. Bon courage et bon test ! adrien kongo Mercredi 03 octobre 2012 1631 Bonjour Anne, Qu'est ce que vous entendez par liséré? j'ai fait ce que vous avez dit mais je n'ai pas aperçu le liséré en question. Voudriez vous parler des gabarit de bouteille qu'il faut commander auprès du fabricant? En tout cas la méthode que je pratiquais est celle de la pesée, je ne pense pas que celle du liséré soit moins lourde, la manipulation bouteille est la même. L'idéal c'est d'avoir un programme informatique qui utilise la gestion bouteille base dose comme orchestra paramètrée en fonction des exigences de rentabilité. J'aimerais que vous soyez plus explicite en donnant des exemples. à plus. adrien kongo Mercredi 03 octobre 2012 1647 Encore Adrien Anne, Dites moi, ce liséré, on le trouve où lorsque la bouteille est pleine, est il incrusté dans la bouteille? La méthode de la pesée est facile, il y a un balisage préalable qui consiste à peser vos bouteilles pleines et en fonction de la dose, in fine vous avec un poids correspondant au nombre de doses restant. A 2 personnes, cela va très pouvez avoir un utilitaire informatique pour que tout de suite dès que vous introduisez le poids, un calcul est tout de suite fait pour avoir la valeur de votre inventaire poids d'une blle de 100cl d'un black label est en principe pareil, celle de 75cl aussi, mais c'est à vous d' red label 100, 70, 75cl ont des poids différents. Non? Anne Mercredi 03 octobre 2012 1843 Bonjour Adrien, le liseré va du col au "cul" de la bouteille de chaque côté, il est verre comme la bouteille on dirait que la bouteille a été assemblée en deux demi-bouteilles. Sur les bouteilles carrées, il se trouve dans un des angles, non il ne faut pas commander de bouteilles particulières, ils sont présents même dans la grande distribution. Les avez-vous trouvés ? Anne Mercredi 03 octobre 2012 1850 J'imagine effectivement qu'avec un paramétrage du poids de chaque bouteille ça simplifie les choses. Mais videz-vous la première bouteille achetée pour connaître son poids à vide avant de la re-remplir de son liquide ? Vous parlez de doses de 4 cl, vous valorisez en nombre de verres à servir ? Je suppose que vous adaptez selon la boisson, pour du ricard vous êtes à 2 cl ou tout est sur 4 cl ? Votre inventaire est saisi en doses alors ? adrien kongo Jeudi 04 octobre 2012 1718 bonjour anne, l'inventaire est saisi en nombre de doses pour les bouteilles entamées et en nbre de blles pour les bouteilles vendues y a bien un travail de balisage qui devra être fait en ce qui concerne les bouteilles faut avoir le poids de la bouteille vide et vais essayer de vous retrouver le travail que j'ai fait sur excel sur poids de la bouteille et nombre de doses restant. Pour revenir au liséré, c'est le point de soudure des deux faces de la bouteille. J'ai à côté de moi un blle de amarula 75cl, le liseré est bien là, mais je ne vois pas comment savoir combien de doses il vous reste dans la bouteille, si vous ne faites pas une gestion informatique à la blle, et même dans cette hypothèse il n'est pas possible de valider votre stock réel si vous ne passez pas à la méthode que j'ai dose d'une liqueur ou d'un vin cuit est congo brazza, tout au moins dans l'hôtel où j'étais, la dose de liqueur à la vente est à 4cl et celle du vin cuit à 5cl. C'est sur la base de ces doses normes que vous faites votre chiffre d'affaire prévisionnel. Anne Jeudi 04 octobre 2012 1822 Bonjour Adrien, merci pour ces infos, je pense avoir compris votre fonctionnement, il repose sur le poids et l'informatique. Pour celui dont je vous parle, les explications sont au-dessus dans mon premier com, il est impératif que le liseré devant soit à la même hauteur horizontale que l'autrel'un devant, l'autre à l'arrière, il faut donc tenir la bouteille bien à l'horizontale. Quand les bouteilles sont sombres ou opaques, mettez-vous sous un éclairage. Testez la méthode décrite plus haut, vous allez voir c'est simple. Pour la mesure, il faut quantifier votre matrice d'inventaire en bouteille et pas en doses. 1 bouteille de 75 cl à 50 euros HT. Pour la valeur de la quantité constatée, vous notez de 0,1 à 0,9 et 1 quand la bouteille est entière. C'est aussi simple que ça. Mais il ne faut pas mélanger la bouteille de 150 cl avec celle de 70 ou 75, il vous faut une ligne par conditionnement et par produit pour le coût on travaille bien sûr au cost pondéré. Si vous deviez changer de méthode d'inventaire, il vous faudrait valoriser un stock final à l'ancienne méthode, puis un stock initial à la nouvelle, dans ce cas il est possible qu'un écart de valeur entre les deux justifie une variation de stocks et une écriture comptable... des points de ratio peut-être aussi mais à priori si votre méthode est juste celle-là l'est aussi, enfin il faut quand même y penser et anticiper car celà peut se produire. adrien kongo Vendredi 05 octobre 2012 1619 Bonjour Anne, Merci pour vos explications c'est dommage que je sois plus dans la restauration mais je m'en souviendrais si d'aventure je me retrouvais dans ce secteur d' je suis dans la boulangerie. Merci encore une fois de plus pour vos explications et surtout sur la rapidité des réponses. Anne Lundi 08 octobre 2012 0946 Merci Adrien, bonne continuation à vous aussi !

Fin septembre, l'OMS a publié un rapport sur la consommation d'alcool chez les jeunes en Europe. S'ils sont, globalement, moins nombreux à boire, les niveaux de consommation restent dangereusement élevés. Paul, qui a commencé à boire vers l'âge de 16 ans, raconte à franceinfo sa descente aux enfers."Ce n’est pas une maladie de vieux dans la rue." Quand il parle de son récent passé d’alcoolique, Paul* a la voix calme et posée. A 28 ans, il est sobre depuis deux ans après avoir lutté de nombreuses années contre son addiction, qui a débuté à l'adolescence. L’alcool, disponible et facile d'accès, est l’une des drogues les plus utilisées chez les jeunes constate l'OMS dans son rapport sur le sujet, publié le 26 septembre. Selon cette étude, en 2014, plus d'un adolescent européen sur dix consommait régulièrement de l’alcool chaque semaine à l’âge de 15 ans 9% des filles et 16% des garçons. En France, c'est la première cause de mortalité chez les 15-30 ans, comme le rappellent les signataires de la lettre ouverte à la ministre de la Santé, datée du 11 octobre. Lorsqu'il parle de sa période d'alcoolisme, Paul a aujourd'hui l’impression de "parler d’une autre personne". Du Paul qui, à 16 ans, boit d'abord régulièrement en soirée avec les copains du lycée. Avec le recul, il comprend que c’est à ce moment-là que l’envie d'alcool s’est installée. "J’aimais bien boire, même si ce n’était pas tous les jours, bien sûr. Mais la base était établie." Il n'est pas un cas isolé. Le rapport de l'OMS révèle qu'un quart des garçons et plus d'une fille sur cinq interrogés ont déjà été ivre deux fois ou plus à 15 ans. Les jeunes sont une cible très sensible et réceptive explique le professeur Nicolas Simon, président de l'Association nationale de prévention en alcoologie et en addictologie. Leur cerveau, en pleine construction émotionnelle, est dans l’exploration du plaisir et pas encore dans le contrôle. Et si, à ce moment-là, se développe la connaissance et la mémoire de l’alcool, il y a une forte probabilité que le jeune développe une addiction. Pr Nicolas Simon, addictologueà franceinfo A 17 ans, Paul est un élève plutôt brillant mais fragile. Il fugue avec sa meilleure amie pour Naples Italie, où pendant huit mois, ils vivent avec des marginaux, des "punks à chien". Dans la rue, l’alcool devient un automatisme. "C’est la spirale. Tous les jours, c’est un litre de vin." Dans un regain de lucidité, il rentre dans sa famille pour passer son bac. Mais l'alcool le suit. J’ai continué à boire sur l’argent de mes parents. J’ai passé mon bac L, avec trois verres de vin par jour. Une fois son bac en poche, les études supérieures n'arrangent rien à son addiction. "J’ai plongé dans l’alcool dur... A 20 ans, je buvais un litre de vodka par jour, en plus de mes deux litres de vin." La consommation d'alcool chez les étudiants est préoccupante, selon Olivier Phan, un pédopsychiatre qui officie dans un centre de consultations pour jeunes consommateurs. "Loin de chez eux, dans la solitude des grandes villes, avec une sollicitation importante, ils répondent positivement à l’importante offre d’alcool qui est proposé dans le milieu étudiant", explique-t-il à franceinfo. Face à son addiction, les parents de Paul sont désarmés. "Ma mère, petit à petit, ne m’a plus reconnu dans mon comportement avec elle, dans mon rapport avec les autres, dans mes accès de colère. Au début, elle pensait que je me droguais. Elle a essayé de me faire réagir, mais cela m’éloignait encore plus." Paul est de plus en plus violent, verbalement et physiquement, avec sa mère divorcée, qui lui demande alors de partir. Le jeune homme, en colère, nage dans une incompréhension totale. Aujourd'hui, il admet "qu'elle se protégeait elle-même et essayait de me protéger". Face à des enfants souvent majeurs quand l'addiction s'installe, les parents ne peuvent rien leur imposer. Les professionnels des centres de soins d’accompagnement et de prévention en addictologie CSAPA, auprès desquels les proches viennent chercher un soutien, leur conseillent de renouer le dialogue, de redevenir influent dans la vie de leur enfant. Loin de sa mère, Paul, lui, squatte dans une colocation où les autres ont " un alcool mondain". Lui est plongé dans son addiction. Je me suis retrouvé seul sur le canapé, sans objectif, sans personne. Se doucher ne devient plus une priorité, vous êtes un légume et c’est un état qui vous va. Paul estime s'être "enterré tout seul", lui qui se décrit pourtant comme "un garçon qui avait les pieds sur terre, social et bien éduqué", arguant que tomber dans l'alcoolisme, "ce n’est pas une question de laxisme ou de lacune intellectuelle". Dans son étude, l'OMS confirme également que ce n'est plus une question de genre, que les filles sont aussi concernées, ni une question de milieu social ou de provenance géographique. A la recherche de sa dose quotidienne, Paul ne sort jamais sans ses lunettes noires. Il varie les lieux d’achats et les horaires en fonction de son état. "Mais quitte à braver la honte, j’y allais. Et si j’étais encore bourré, j’en avais encore plus rien à foutre". Il dit avoir "tout essayé" d'innombrables 'shots' de petits verres avalés en un temps record, du "binge drinking" un maximum d'alcool consommé en un minimum de temps ou encore de l'autostrangulation, qui provoque plus rapidement les effets de l’alcool. Désinhibé, il est poussé vers un comportement à risque, "l'alcool vous fait agir par pulsion." Le jeune homme se souvient avec amertume de ses crises de violence, de ses hurlements qui pouvaient durer plusieurs minutes sans que personne n’ose intervenir. "Dans le métro, dans la rue, bourré, j’étais dans la provocation. Dès que l’on me regardait, je répondais, j’insultais." Il cumule les black-out "ces trous noirs où se perdent les souvenirs" et les comas éthyliques. Pour Paul, rien de grave. Il relativise même son traumatisme crânien dû à une chute en état d’ivresse, qui lui a fait perdre quinze jours de sa mémoire. Des événements qui ne sont pas sans conséquence explique le pédopsychiatre, Oliver Phan. Ces effets sont les mêmes que le chez le boxeur, le black-out impose des coups au cerveau qui, répétés, deviennent irréversibles. Olivier Phan, pédopsychiatreà franceinfo Paul reconnaît que les phases de black-out étaient "les meilleures", car il redoutait les moments de lucidité. "C’est là qu’on est le plus vulnérable, qu’on pense au suicide car on ne se reconnaît plus." Il tentera par deux fois de mettre fin à ses jours. C’est un intense ras-le-bol qui le pousse enfin, à 21 ans, à accepter une aide extérieure. De retour chez sa mère, il rencontre un premier psychiatre, "mais j'ai rapidement vu les limites de son accompagnement et des médicaments qu'il me donnait". Un an plus tard, il en voit un second qui lui prescrit des nouveaux médicaments "qui ne réussissent pas à me sortir de mes deux litres de vin quotidien". Il met alors en place des routines. Noter ses tâches de la journée à venir ou se lever tous les jours à la même heure le rassurent. Mais au moindre stress ou insatisfaction, comme une dispute avec ses proches, il retombe dans l’alcool. Puis, c’est la bonne rencontre. A 25 ans, le jeune homme pousse la porte d’un centre de consultations de jeunes consommateurs. Le médecin, qu’il voit encore aujourd’hui, lui explique que son addiction n’est pas une fatalité et qu’il peut s’en sortir. Une révélation pour Paul qui se voyait quasiment "né alcoolique". Il commence alors le baclofène. Ce décontractant musculaire utilisé hors de son indication traite le besoin irrépressible de consommer des alcoolodépendants. Rapidement, sa consommation baisse. C’est motivant d’avoir des plages de lucidité plus grande, de pouvoir sortir sans lunettes, de reprendre goût à la vie, d’aller au ciné sans s’endormir, d'être enfin comme tout le monde. S'il est possible de s’en sortir, l'addictologue Nicolas Simon insiste sur l’importance d’un accompagnement régulier en plus d’une médication. Car si "le sevrage nettoie le corps de la substance, il ne règle pas le problème de l'addiction qui est une maladie neurobiologique". Paul a mis cinq ans pour sortir complétement de son addiction. Ce temps varie à chaque histoire ,mais "tous racontent la rapide chute dans l'alcool et la difficulté de s’en sortir, une fois le déni passé" témoigne un des écoutants d'Alcool Info Service, dispositif d'aide qui dépend de l'agence Santé publique France. Car la prise de conscience est assez tardive en général, explique Thomas Maës-Martin du collectif Baclohelp, qui accompagne des patients soignés avec du baclofène. Ils vont s’enfoncer, leurs relations amicales et familiales vont s’étioler jusqu’à la solitude absolue et c’est à ce moment-là seulement et malheureusement qu’ils vont pouvoir faire le constat et chercher des solutions. Thomas Maës-Martin, collectif Baclohelpà franceinfo Paul est sobre depuis deux ans. Mais récemment lors d'un anniversaire, il a bu deux verres de rouge. Les effets pervers de l’alcool sont rapidement réapparus. "D’un coup, cela a posé un filtre sur ma réalité, toute la merde que j’ai pu vivre est revenue. C'était comme un dédoublement, je me suis revu alcoolique." Déterminé le jeune homme lâche alors un "Plus jamais !" Aujourd’hui, il est fier de dire qu’il s’en est sorti. Mais il sait qu'il n'est pas indemne pour autant, lui qui, à seulement 28 ans, doit vivre avec ce passé douloureux et avec un traitement qu'il devra suivre toute sa vie. * Le prénom a été modifié à la demande de l'intéressé.

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