AchetezIl était Une Fois en Amérique- Affiche de Film Originale (ressortie) - 40x60 cm - Pliée de Original Movie Poster sur gratuite dès 25€ Continuer sans accepter. Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos Prod DB © Warner Bros / DR IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE ONCE UPON A TIME IN AMERICA de Sergio Leone 1984 USA avec Sergio Leone sur le tournage d'apr?s le roman de Harry Grey Prod DB © Warner Bros / DR Replaçons les choses dans leur contexte. En 1984, lorsque sort Il était une fois en Amérique, Sergio Leone n'est pas en état de grâce. Son dernier long métrage, Il était une fois la révolution, date de 1971 et de nombreux projets ont été refusés par l'intéressé, voire avortés. Le cinéaste italien de 55 ans a également passé le témoin du western-spaghetti, qu'il a lui-même initié et sublimé. Il débute les eighties de façon peu glorieuse, en signant des publicités pour les glaces Gervais, les voitures Renault ou encore Europ Assistance et Palmolive. "Quand je fais un film publicitaire, avoue Leone dans le livre d'entretien avec Noël Simsolo éd. Cahiers du cinéma, je m'amuse !" Le cinéphile, moins, forcément. Et la nostalgie qui accompagne la trilogie des Dollars ou les autres Il était une fois... est teintée d'amertume à l'égard de cet auteur, génie du Cinémascope passé au format carré du petit écran. Leone n'est alors presque plus personne pour une industrie cinématographique qui a changé de visage en une décennie. Le nouvel Hollywood est déjà de l'histoire ancienne, sabordé par ceux-là mêmes qui l'ont érigé. Le cinéma italien, lui, a les deux genoux à terre et la tête plus très droite. C'est dire si la présentation de ce Il était une fois en Amérique au Festival de Cannes, en mai 1984, est inespérée. Son caractère spectral en sidère et en irrite plus d'un. Qu'importe, il est en prise directe avec un monde en mutation. Les premières minutes où un De Niro, ivre d'opium, se perd dans un labyrinthe spatio-temporel nous plongent d'emblée dans une spirale où souvenirs, fantasmes et délires contaminent le présent pour offrir une réalité malade et cadavérique. Le script est inspiré du roman The Hoods, d'Harry Grey, où l'auteur raconte par le menu son passé de gangster. Nous suivons David Aaronson, dit Noodles, élevé dans le quartier juif de New York dans les flamboyantes années 20, sa rencontre décisive avec son frère d'armes, Max, leur ascension dans le milieu du gangstérisme au cours des décennies suivantes et, inévitablement, la chute qui va avec. Comme chez Marcel Proust, la mécanique du temps brouille les pistes et perturbe tous les sens. Vaste programme ! Si actuel et pourtant anachronique à l'heure où naît, à Hollywood, la notion de blockbuster. Un statut qui le place d'emblée hors catégorie. Il était une fois en Amérique est un édifice monumental 3 h 50, appelé à traverser les siècles sans s'épuiser. Sa ressortie en salle aujourd'hui permet de vérifier in situ son formidable potentiel de sidération. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Au coeur du mytheDans cette merveille - on le répète -, tout est une affaire de temps. Étirées au maximum, les minutes, les heures, les années perdent peu à peu leur identité pour devenir des créatures hybrides qui encerclent les protagonistes. Signe de ce destin, la rencontre entre Noodles et Max se joue autour du vol d'une montre. Plus tard, les clés de la consigne où la bande d'amis entreposera son butin comme ses souvenirs seront planquées dans une horloge. Tic, tac, tic, tac... Un critique américain a justement écrit "C'est également une exploration cinématographique de la notion du temps comment il passe, comment on s'en souvient et, peut-être, comment on perçoit l'avenir." Le film s'articule comme un long flash-back où Noodles, homme grisonnant aux traits tirés, revisite avec désillusion un passé fait de promesses pas toujours tenues, d'honneur bafoué, d'amour sacrifié, et son lot de trahisons. Bien sûr, Sergio Leone a pris ses distances avec le roman, y intégrant des passages de sa mémoire pour en faire, comme il le dit lui-même "Une biographie à deux niveaux ma vie personnelle et ma vie de spectateur de cinéma américain." C'est que l'auteur, Harry Grey, qui se targue d'avoir décrit sans romantisme la réalité du milieu, a truffé son récit d'anecdotes inspirées des nombreux films noirs hollywoodiens. Leone les repère sans mal, "à partir du moment où l'imaginaire prenait autant le dessus sur la réalité, au point que l'auteur croyait faire du neuf avec les stéréotypes les plus courants, c'est que nous étions vraiment au coeur du mythe". Il était une fois... le cinéma ! Comme toutes les grandes oeuvres, l'histoire autour du film n'est pas rose. Il en aura fallu du temps plus de quatre ans, des tractations avec des producteurs pas toujours compréhensifs, des décors naturels éparpillés un peu partout à la gare du Nord de Paris notamment ! ou encore des collaborations avec des scénaristes de tous poils, dont l'écrivain Norman Mailer, pour venir à bout de cette odyssée. Côté casting, Robert De Niro, alors en pleine bourre Taxi Driver, Voyage au bout de l'enfer, Raging Bull,a très vite été pressenti pour incarner Noodles. Pour Max, en revanche, Leone imagine tout d'abord le Français Gérard Depardieu, reproduisant ainsi une partie de l'affiche de 1900,de Bernardo Bertolucci. Ce sera finalement James Woods, repéré au théâtre, qui emportera le morceau. "Son essai n'était pas concluant mais je sentais une réelle névrose derrière son étrange visage." L'art du cinéaste italien est d'avoir confronté le caractère très peu naturaliste du jeu de James Woods à l'intériorité brute de Robert De Niro. Il en résulte un puissant rapport de forces et une étrange connivence, faisant de Max le reflet déformé de Noodles, et réciproquement. L'entente entre De Niro, réputé exigeant, et Leone sera totale. Le cinéaste évoque des débuts houleux pour aboutir à une "harmonie rare". La fin du mondeMais l'héroïne de ce long fleuve "intranquille" est d'abord la mise en scène de Leone, qui réussit à sublimer tout ce que la caméra regarde. Ainsi, cette image de ce morceau de rue nimbé de fumée, où des silhouettes menaçantes viennent bloquer la course d'un enfant devant la majesté du pont de Brooklyn en arrière-plan, s'est imprimée à jamais dans l'inconscient du spectateur. Notons que cette dimension n'a pas forcément sauté aux yeux de tout le monde, à commencer par les distributeurs américains qui ont eu la riche idée de remonter le film de façon plus chronologique. Un peu comme si un galeriste avait demandé à un peintre du dimanche de retoucher les portraits de Picasso afin qu'ils paraissent moins déconstruits. Une aberration dont le marché européen a été heureusement préservé. Mais les chefs-d'oeuvre ont ceci de particulier qu'ils sont indestructibles. Il était une fois en Amériqueest aujourd'hui intouchable et n'a rien perdu de sa capacité à hypnotiser les spectateurs qui ont la chance de l'avoir vu. Leone voyait, dans ce voyage au bout de la nuit, "la fin du monde. La fin d'un genre. La fin du cinéma .... Tout en espérant que ce n'est pas vraiment la fin. Je préfère penser que c'est le prélude à l'agonie". Leone meurt quelques années après la sortie de son film, le 30 avril 1989, à 60 ans, laissant un autre film inachevé. C'est donc cette Amérique fantasmée et baroque qui restera son chant du cygne. Thomas Baurez Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
Dernierfilm de la programmation des «Grands classiques au cinéma» du Régent pour la saison 2015-2016, le film de Sergio Leone Il était une fois en Amérique, en version longue restaurée
L’enfance et la maturité d’un gangster dans une fresque déconstruite. Le chef-d’oeuvre ultime de Sergio Leone. Voici – précédant de peu une version plus longue de quarante minutes, annoncée pour 2012 – le retour sur grand écran d’un des sommets du cinéma des années 80, l’ultime film de Sergio Leone, ce cinéaste qui réinventa le cinéma américain. Mais Il était une fois en Amérique est l’objet d’un culte cinéphile un brin fétichiste – il fut charcuté par ses producteurs à sa sortie aux Etats-Unis et connut un échec commercial sanglant – qui cache souvent sa vraie nature. Il s’agit a priori d’un film de pègre et à gros budget, tourné un peu partout sur le globe, dont Venise et Paris. Le film, tiré librement d’un livre autobiographique écrit en prison par un malfrat nommé Harry Grey, raconte, depuis l’enfance, la vie d’une bande de petits délinquants juifs de Brooklyn au début du XXe siècle, leur montée dans la hiérarchie du crime sous la Prohibition, puis leur chute brutale, entraînée par une trahison dont on saura plus tard qu’elle n’était pas le fait de celui qu’on croyait. C’est un film sur l’amitié masculine, son ambiguïté intrinsèque, sa part de traîtrise inhérente. Entre le héros du film, Noodles Robert De Niro, et Max James Woods, la jalousie, l’ambition, la cruauté, peut-être aussi une attirance sexuelle cachée ou latente, se mélangent pour produire un cocktail sournois. L’un gâchera sa vie pour se rédimer, l’autre la réussira par l’ignominie. La vision que porte Leone sur l’humanité est très noire. On peut en dire autant de sa vision de l’amour viril celui qui depuis l’enfance lie et délie Noodles et Deborah les sublimes Jennifer Connelly et Elizabeth McGovern, qui deviendra une star. Mais Noodles, dans un accès de passion, la viole dans un taxi. Et le film, souvent ultraviolent, d’une trivialité très italienne, semble se désoler lui-même, avec l’aide de la musique déchirante d’Ennio Morricone, du désespoir qu’il exprime. Mais il y a plus l’architecture du film. Il était une fois d’Amérique obéit à une construction à la fois habile on n’y voit que du feu et très sophistiquée, brouillant la chronologie pour donner son sens au récit, qui vogue d’époque en époque pour dessiner un territoire mental où tout se brouille, l’imaginaire et le réel, sans qu’on sache bien, au final, ce qui relevait de l’un ou de l’autre. Et peu à peu, de cette tentative éclatée de raconter une vie, dans ses faux-semblants et ses vérités, naît un hommage nostalgique et énamouré d’un Italien pour le grand cinéma, cet art qui permet aux hommes de vivre hors du temps dans un monde vu, pensé, fantasmé, déformé par le cerveau d’un autre. Un vrai chef-d’œuvre. Critiques Bandeannonce de Il était une fois en Amérique, un film de Sergio Leone avec Robert De Niro, James Woods et Elizabeth McGovern sorti le 6 mai 2015 . Ce trailer de Il était une fois en Amérique présente le film en 2m32 : Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié.
Il était une fois en Amérique de Sergio Leone avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovernBande annonce, date de sortie, synopsis, avis et critique du film Année 1984 Date de Sortie 23 Mai 1984 De Sergio Leone Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Tuesday Weld, ... Treat Williams, Danny Aiello, Marcia Jean Kurtz, Richard Bright, Darlanne Fluegel, James Hayden, William Forsythe, Robert Harper, Larry Rapp, Richard Foronjy, James Russo, Gerard Murphy, Chuck Low Genre Drame La critique spectateurs 9/10 Pays de production États-Unis Titre VO Once Upon a Time in America Durée 3h50 Synopsis du film Il était une fois en Amérique Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau. Vidéo du film
15EMEPARTIE "Il était une fois en Amérique (Once upon a Time in America) est le dernier film réalisé par Sergio Leone, sorti en 1984. Il est adapté du roman The Hoods de Harry Grey." SYNOPSIS : David Aaronson, dit « Noodles », vieil homme las et solitaire, revient à New York et se souvient. Il contemple d’un regard dur, désabusé et pourtant sage et apaisé sa

Abonnez-vous 21h05 dimanche 06 mars Il était une fois en Amérique7777 Drame de Sergio Leone 1984 Avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth McGovern, Joe Pesci, Burt Young, Treat Williams, Danny Aiello, Tuesday Weld, Richard Bright, James Hayden, William Forsythe, Darlanne Fluegel, Larry Rapp, Richard Foronjy, Robert Harper, Dutch Miller, Gerard Murphy, Amy Ryder, Olga Karlatos, Mario Brega, Ray Dittrich, Frank Gio, Karen Shallo, Angelo Florio, Scott Schutzman Tiler, Rusty Jacobs, Brian Bloom, Adrian Curran, Mike Monetti, Noah Moazezi, James Russo, Frankie Caserta, Joey Marzella, Clem Caserta, Frank Sisto, Jerry Strivelli, Julie Cohen, Marvin Scott, Mike Gendel, Paul Herman Pays de production Etats-Unis - Italie Durée 3h40mn / Résumé De 1920 à 1968, aux États-Unis. La destinée d'un gangster, sa jeunesse délinquante dans le quartier juif de New York, son séjour en prison après le meurtre d'un rival, son ascension fulgurante pendant la Prohibition, son amour impossible pour une femme, et les circonstances qui le poussèrent à trahir ses complices. Si vous avez manqué le début New York, décembre 1933. Trois tueurs à la solde du syndicat du crime recherchent activement Nathan Aaronson, dit Noodles. Ils ont pour mission de lui faire payer la trahison qui vient de coûter la vie à Max, Patsy et Cockeye, ses complices et anciens compagnons de jeunesse. N'ayant pu obtenir le moindre renseignement de son épouse Eve, abattue sur-le-champ, les trois hommes s'en prennent ensuite à Fat Moe et le rouent de coups, connaissant les liens étroits que ce patron de bar clandestin entretient avec Noodles. Pour s'épargner des souffrances inutiles, Moe leur indique que Noodles se cache dans une fumerie d'opium. Deux des tueurs s'y rendent tandis que le troisième garde un œil sur Moe. Mais Noodles réussit à leur fausser compagnie et à délivrer Moe après avoir tué son geôlier. Il se rend ensuite à la gare et retire de la consigne une valise qui contient la cagnotte secrète de la bande. Il n'y trouve que de vieux journaux. Il prend alors le premier train en partance et gagne ainsi Buffalo. Trente-cinq années ont passé... Fatigué, vieilli, Noodles revient à New York après avoir reçu un message sibyllin, l'invitant à se rendre sur les tombes de Max, Patsy, et Cockeye. Il y retrouve Moe qui tient un restaurant casher et a reçu la même invitation... Clin d'oeil Sergio Leone offrit à Jennifer Connelly son premier rôle dans l’ultime volet de sa trilogie Il était une fois… À 14 ans, on reconnaît l’actrice de Blood Diamond et Noé dans la première partie du film où elle joue Deborah adolescente. Le casting de Il était une fois en Amérique Sergio Leone Réalisateur Robert De Niro Noodles James Woods Maximilian 'Max' Bercovicz Elizabeth McGovern Deborah Gelly Joe Pesci Frankie Burt Young Joe Treat Williams Jimmy O'Donnell Danny Aiello Police Chief Aiello Tuesday Weld Carol Richard Bright Joe James Hayden Patsy William Forsythe Cockeye Darlanne Fluegel Eve Larry Rapp Fat Moe Richard Foronjy Whitey Robert Harper Sharkey Dutch Miller Van Linden Gerard Murphy Crowning Amy Ryder Peggy Olga Karlatos la femme dans le théâtre de marionnettes Mario Brega Mandy Ray Dittrich Trigger Frank Gio Beefy Karen Shallo Mrs. Aiello Angelo Florio Willie the Ape Scott Schutzman Tiler Young Noodles Rusty Jacobs David / Young Max Brian Bloom Young Patsy Adrian Curran Young Cockeye Mike Monetti Young Fat Moe Noah Moazezi Dominic James Russo Bugsy Frankie Caserta Bugsy's Gang Joey Marzella Bugsy's Gang Clem Caserta Al Capuano Frank Sisto Fred Capuano Jerry Strivelli Johnny Capuano Julie Cohen Young Peggy Marvin Scott Interviewer Mike Gendel Irving Gold Paul Herman Monkey Les bandes-annonces de Il était une fois en Amérique Infos sur le programme Interdit aux moins de 16 ans / Couleur / STEREO / 169 - Sous-titrage Malentendant / HD

Ilétait une fois en Amérique. Membre d'une petite bande de voyous peu à peu devenus gangsters, Noodles a été condamné à une lourde peine de prison pour avoir tué un rival de la bande. A sa libération il retrouve ses amis qui sont à la tête d'un bar clandestin et d'une maison close. Mais il va rapidement s'opposer violemment à son Sortir Cinéma Publié le 11/05/15 mis à jour le 08/12/20 Partager Comme nombre de réalisateurs, le maître du western spaghetti a vu sa fresque historique amputée par les studios. Une version restaurée et enrichie ressort en salle. 270-41 = 229. Je retire 90, ça fait 139. 229 + 22 = 251. Superbe fresque historique, Il était une fois en Amérique, dernier chef-d'oeuvre de Sergio Leone, est aussi une longue histoire de minutage, de coupes, de montage. Récapitulons. Le cinéaste rêve d'un film de plus de 4h30 270 min. En 1984, à contrecoeur, il en valide une version de 229 minutes, montrée en avant-première à Cannes sous les hourras. Mais pour sa sortie américaine, le film est cruellement réduit à 139 minutes et... renié par le réalisateur. L'Europe, elle, obtient sa version longue 229 min. Depuis, Il était une fois en Amérique passe souvent à la télévision, mais il était devenu quasiment impossible de le projeter en salles du fait de l'absence de bonnes copies 35 mm. D'où la volonté de restaurer ce monument. Un travail d'orfèvre qui a duré six mois, dont le résultat est enfin visible depuis cette semaine au Grand Action dans une version... augmentée de sept scènes, retrouvées sur des copies de travail par la famille de Leone. Soit 22 minutes supplémentaires, portant l'ensemble à 4h11 251 min. Le matériel était en piteux état, explique Davide Pozzi, directeur du laboratoire L'Immagine Ritrovata, affilié à la Cinémathèque de Bologne. Les copies de travail, uniquement des positifs, étaient fatiguées, abîmées, rayées. Notre objectif principal était de réduire le plus possible la différence de qualité entre le film et les séquences ajoutées, tout en sachant que c'était une impasse technologique », s'excuse-t-il presque. New York au temps de la Prohibition Les nouvelles » scènes sont effectivement facilement identifiables, la couleur des fichiers ayant viré au vert. Mais rien qui ne gêne cette immersion romanesque et fascinante dans le New York de la fin de la Prohibition. Rien qui ne gâche le plaisir de retrouver Noodles/Robert De Niro, hanté par son passé, amoureux fou et maladroit de la sublime Deborah, et Max, l'ami perdu puis retrouvé. Une scène retrouvée a en particulier touché Davide Pozzi celle où Noodles précipite la voiture dans l'eau Nous n'avions pas le son, du coup nous avons ajouté de la musique de Morricone. Le film devient alors onirique. La voiture tombe dans l'eau comme dans un film muet. Pour moi, c'est vraiment de la poésie. » Mais au-delà de la beauté de ces scènes, une question se pose. Sachant que ces séquences avaient été écartées par Sergio Leone, aurait-il validé cette version ? C'est la question la plus délicate. C'est pour ça que nous l'avons présentée comme une hypothèse de reconstruction. Nous avons ajouté ces scènes sur la volonté de la famille, en toute transparence. Selon moi, elles permettent de mieux comprendre l'univers du film. Mais nous ne disons pas que c'est la plus correcte, ni la plus juste. » Simplement la troisième et la plus longue... Il était une fois en Amérique, de Sergio Leone. Grand Action, 5e. Voir les horaires des séances. Mardi 12 mai à 20h, séance présentée par Emmanuel Raspiengeas, de la revue Positif. western Sortir à Paris Le choix du cinéphile Robert De Niro Sergio Leone Partager Contribuer Sur le même thème
Castingcomplet et fiche technique. Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant
Suite au décès d'Ennio Morricone lundi, France 3 modifie sa programmation de la soirée du 13 juillet, pour diffuser les films “Le Professionnel” de Georges Lautner et “Il était une fois en Amérique” de Sergio Leone, à la place de de la soirée consacrée à Pierre Richard "Les fugitifs" et "Le grand blond avec une chaussure noire".De Georges Lautner, avec Jean-Paul Belmondo, Jean Desailly, Robert Beaumont, un agent des services secrets français envoyé en mission dans un pays d’Afrique, a été dénoncé pour des raisons politiques par ses chefs aux autorités de ce pays. Evadé du bagne où il a été détenu pendant deux ans, il revient en France pour se venger en achevant la mission qu’on lui avait confiée assassiner le président de ce pays, en voyage officiel à musique du Professionnel, signée Ennio Morricone, remportera un disque d’or en 1981 grâce à son thème culte Chi Il était une fois en AmériqueDe Sergio Leone, avec Robert De Niro, James Woods, Elizabeth était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à s’agit du troisième volet de la saga des Il était une fois… » de Sergio Leone, après Il était une fois dans l’Ouest et Il était une fois la révolution, dont toutes les bandes originales d’Ennio Morricone sont devenues cultes aujourd’ diffusion de la case SPORT LEGENDE prévue vers 0005 sera reportée à la mi-août. v2j1. 401 277 204 352 409 332 371 50 182

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